Voyage aux Açores

Voyage aux Açores

Chers Amis voyageurs,

    Nous envisageons pour 2025 un voyage aux Açores : un archipel volcanique au milieu de l’atlantique avec des paysages naturels préservés et uniques, une faune variée et une culture authentique. Cette destination, assez confidentielle et peu touchée par le tourisme de masse, ne manquera pas de vous surprendre.

Affichette

    Je vous invite à consulter l’affichette et le programme du voyage en pièce jointe. Celui-ci se déroulera du 30 septembre au 11 octobre 2025.

Programme

    Vous avez jusqu’au 15 janvier 2025 pour vous inscrire… Mais n’attendez pas, car les premiers inscrits seront prioritaires. Nous nous sommes basés sur une vingtaine de participants et nous ne dépasserons pas les 25 dans un souci de convivialité et de confort. Si nous atteignons ce nombre de participants, le tarif sera revu à la baisse.
    Vous pouvez vous préinscrire dès maintenant. Au-delà du 15 janvier, vous ne bénéficierez plus du tarif « groupe ».
    Pour celles et ceux qui souhaitent s’inscrire directement par Internet, voici le lien, il vous suffit de cliquer dessus :

CIRCUIT AUX ACORES – Havas Voyages Groupes Lyon

    Pour les autres vous avez toujours la possibilité de vous inscrire en utilisant le bulletin d’inscription imprimable :

Bulletin d’inscription PDF

    Merci de conserver cet e-mail dans un coin de votre ordinateur pour éventuellement le reconsulter et le transmettre aux personnes de votre entourage qui voudraient nous accompagner.
    Je suis sûr que nous ferons ensemble un très beau voyage et que, comme les précédents, nous en garderons un excellent souvenir. Je serai très heureux de vous retrouver.
    Amicalement,

Gérard                  

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La Norvège

 

 Notre voyage en Norvège 

Chers Amis

     Notre ami Claude Poliakoff n’étant pas venu en Norvège, pays qu’il avait déjà visité, je vais tenter de vous faire un bref compte rendu de notre voyage qui sera moins détaillé que les siens.

     Nous étions vingt et uns venus de tous les coins de France, confortablement installés dans un car de cinquante places avec les avantages que cela procure.

     Certains ont décollé de Paris et d’autres de Lyon. Après un changement d’avion à Amsterdam, nous avons tous atterri à Bergen, magnifique ville aux sept collines. Et là, surprise, certains bagages n’avaient pas suivi et personne dans l’aéroport ni au guichet d’Air France /Klm pour nous renseigner et enregistrer les réclamations.  Aussi, chaque matin, tout au long du séjour, nombreux coups de fil pour tenter de les récupérer, mais en vain. Ce n’est qu’à la fin que certains ont retrouvé leurs valises, ce qui a fait dire à Hélène, « je n’aurai pas de lessive à faire».

     La Norvège est un pays de 5,4 millions d’habitants pour une superficie de 385 200 Km2,  essentiellement composé de pécheurs et d’agriculteurs. Son niveau de vie est un des plus élevés au monde avec un PIB/habitant double de celui de la France : 94 660 $ contre 47 360 $. Tout ceci grâce à son pétrole, son gaz et maintenant aux plus importants gisements de phosphates du monde découverts récemment, ce qui inquiète le Maroc dont c’est le principal revenu.

     En 1966, la Norvège a anticipé la fin du pétrole en créant un « fonds souverain » alimenté par les ressources de l’or noir de façon à maintenir l’État-providence lorsque les puits seront secs. Cette manne leur a permis de construire en un quart de siècle un impressionnant réseau routier touristique surplombant les fjords et traversant les montagnes grâce à un millier de tunnels. Quant aux iles Lofoten des ponts permettent désormais de passer de l’une à l’autre plus rapidement qu’avec le ferry. Bref, c’est un pays avant-gardiste tourné vers la modernité.

     Ce magnifique réseau routier à l’aplomb des fjords offre à l’infini  une vision époustouflante des paysages dont certains me disaient qu’ils finissaient par s’en lasser. Mais rentrés chez eux ils les ont regrettés et m’ont dit qu’ils seraient prêts à repartir tellement ce voyage est resté gravé dans leur mémoire. De la même façon que la perte d’un être cher nous fait mesurer à quel point il contribuait à notre bonheur.

     Les lacs, les montagnes encore enneigées, le vert des prairies et leurs fleurs, toute cette beauté  me fait encore rêver lorsque je ferme les yeux pour revivre mon voyage.

   Je ne voudrais pas passer sous silence le charme des villes aux habitations colorées que les plus courageux, après le repas du soir, partaient visiter au moment où la circulation automobile est à son plus bas niveau. De même que la beauté des parcs dont celui de Vigeland, du nom de l’artiste qui offrit à la ville d’Oslo, ses magnifiques statues immortalisant la vie de l’homme de sa naissance jusqu’à la vieillesse. Ainsi que le musée Fram qui nous a permis de visiter un bateau polaire construit en 1892 et d’imaginer la vie des marins à bord lorsqu’ils étaient en expédition.

      Voilà pour l’essentiel car il y aurait beaucoup d’autres choses à dire. Mais chacun à sa propre vision du voyage. Personnellement, ce fut un  grand plaisir de redécouvrir un quart de siècle plus tard ce très beau pays où j’aimerais encore retourner.

 «  Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage et… »

Gérard Zbir

PS : Un grand merci à Alain Barnier qui mettra en ligne ce texte et quelques photos qui rappelleront à chacun de bons souvenirs et donneront peut-être envie à d’autres d’aller visiter la Norvège.

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Deuil

Deuil

     C’est avec beaucoup de tristesse que je vous annonce le décès de Jean-François Pajot, ancien professeur de mathématiques du lycée Théodore Aubanel d’Avignon avec qui je partageais la chambre dans de nombreux voyages. Certains d’entre vous l’ont connu et appréciaient sa gentillesse et sa serviabilité. Jean-François était mon ami depuis des décennies.

 

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La Suisse

Le  voyage en Suisse

    Vous êtes tous revenus enchantés de notre pérégrination à bord du « Glacier Express » et des trains à crémaillère qui nous ont emmenés dans les plus hauts sommets de Suisse. Ne manquez pas de lire l’excellent compte rendu qu’en a fait Claude Poliakoff pour revivre ce voyage comme si vous en reveniez à peine. Merci à ceux qui m’ont envoyés leurs photos pour agrémenter son texte.

    Je vous souhaite à nouveau une excellente année 2024 ainsi qu’à ceux qui vous sont chers. Au plaisir de vous retrouver à l’aéroport pour le prochain voyage.

Gérard Zbir

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Émirats arabes unis

Émirats arabes unis
Du 2 au 13 mars 2022

    Ce fut un changement radical de climat, car en quittant l’avion, même tôt le matin, la température était des plus clémente pour atteindre 32° dans l’après-midi et augmenter au fil des jours jusqu’à 37°. Et pourtant c’était la fin de l’hiver.

   Mon compte rendu ne sera qu’un ressenti personnel, moins détaillé que l’aurait été celui de Claude Poliakoff contraint de se désister pour raison de santé. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.

    Je ne connaissais rien des Émirats Arabes Unis (EAU) que je confondais avec l’Arabie Saoudite et le Katar. Heureusement qu’il y a les voyages pour améliorer mes connaissances en géopolitique.

    Les EAU sont nés le 2 décembre 1971, à l’initiative du sultan d’Abu-Dhabi, suite au retrait de l’Angleterre un an plus tôt de ces territoires, pour se protéger des ambitions expansionnistes de l’Arabie Saoudite. Les EAU regroupent sept Émirats dans une même fédération, chaque émirat conservant son autonomie à l’image des Länder allemands. Il fut décidé que le Président serait le sultan d’Abu-Dhabi et le Premier ministre celui de Dubaï. Un gouvernement fédéral de trente-deux ministres dont neuf femmes fut constitué, chose inhabituelle pour un pays arabe.

   Le pouvoir judiciaire fédéral, conformément à la constitution, est totalement indépendant. Il s’assure de la conformité constitutionnelle des lois fédérales et règle les litiges qui pourraient survenir entre le gouvernement fédéral et l’un des Émirats.

   Ces territoires n’étaient qu’un immense désert et comme on ne construit pas sur du sable, des millions de tonnes de terre furent importées du Pakistan et de l’Inde. Les Émiriens étant majoritairement une population nomade on fit appel à une main-d’oeuvre étrangère du sous-continent indien, aux plus grands architectes et aux meilleurs ingénieurs pour faire émerger du désert de magnifiques villes.

 Quelques photos : 

(Cliquer sur une photo pour l’agrandir et accéder au diaporama)

   Mais les Émirs voulurent que leurs peuples, des Bédouins, profitent aussi de l’argent du pétrole. C’est ainsi qu’ils décidèrent de sédentariser ces nomades en offrant à chaque famille une maison de deux étages avec piscine et garage, construites sur des modèles différents. La santé fut également au centre de leurs préoccupations avec l’accès aux soins gratuit. La scolarité devint obligatoire de trois à dix-huit ans, à commencer par les filles, principalement concernées. Ce sont elles qui, chargées des tâches ménagères, élèveront les enfants, les garçons étant employés à s’occuper des troupeaux ou à la pêche perlière jusqu’à l’arrivée concurrentielle des perles de culture japonaises.  Les Émiriens qui décident de se marier reçoivent, en dot, douze mille cinq cents euros du gouvernement pour débuter dans la vie et une allocation de mille cinq cents euros par mois pour chaque enfant jusqu’à l’âge de dix-huit ans. Quand un couple divorce la femme est relogée gratuitement. Sur une population de dix millions d’habitants, seulement deux millions sont des Autochtones. Les Émirats, surtout Dubaï, sont une mosaïque multiculturelle.

   Ce qui m’a le plus surpris c’est la propreté des villes. Pas un graffiti, par de papiers ni de sacs plastiques qui jonchent le sol, pas de poubelle que le mistral promène dans la rue car la collecte se fait de nuit et les conteneurs ensuite cachés. Partout des parterres de fleurs qui colorient les paysages. Des axes routiers de six couloirs de circulation à l’entrée et à la sortie des grandes agglomérations pour fluidifier le trafic. Interdiction de rouler avec un véhicule sale ou éraflé sous peine de contravention. Par contre, beaucoup de caméras de vidéosurveillance qui fait qu’il n’y a pratiquement pas de délinquance. Quinze mille sur les cent soixante-cinq kilomètres d’autoroute qui relient Dubaï à Abu-Dhabi, nous a dit le guide, avec un lampadaire tous les vingt-cinq mètres, dont un sur deux seulement est allumé la nuit par économie.

   Je ne vous détaillerai pas tout ce que nous avons vu, les reportages TV en Replay, le feront mieux que moi. Je citerai simplement l’exposition universelle qui m’a un peu déçu, car les pavillons étaient d’inégale valeur, celui du Maroc étant, à mon sens, le plus beau de ceux que j’ai visités. J’ai été fasciné par le magnifique musée du Louvre, les mosquées, les souks de l’or avec en vitrine la plus grande bague du monde, le plus grand centre commercial au monde, la plus grande tour du monde de huit cent quarante-huit mètres de haut. Bref, tout est dans la démesure et étonnant. Le luxe est partout.

  Nous avons ensuite pris un vol intérieur qui nous a conduits à Mascate dans le sultanat d’Oman, à mes yeux la perle du voyage en raison de ses magnifiques oasis émaillées de piscines naturelles et de montagne dépassant les trois mille mètres. Nous nous sommes baignés et avons navigué dans le détroit d’Hormuz, escortés de dauphins. Nous avons roulé en 4×4 dans le désert, comme dans le «Paris-Dakar», pour voir le coucher de soleil depuis la plus haute dune du désert de Wahiba Sands où nous avons dormi. Nous avons eu le privilège de visiter le « Royal opéra House » de Mascate, joyau d’architecture, spécialement ouvert pour nous, construit par le sultan Kaboos passionné de musique et très attaché au développement culturel de son peuple.

   Il y aurait beaucoup plus à dire, mais je m’arrêterai là pour ne pas vous lasser.

   Ce fut un très beau voyage mais, hélas, trop chargé. Il aurait fallu un jour de plus ou alors renoncer à des visites moins essentielles pour déjeuner à des heures correctes, arriver dans les hôtels à des heures moins tardives pour profiter des piscines, des salles de sport, se détendre et partir plus tard certains matins. À l’avenir nous ne nous associerons plus à un autre groupe pour ne pas dépasser trente participants. Ce sera un voyage uniquement « Dynamiq ». Personnellement, habitué comme d’autres à voyager depuis mon plus jeune âge, autrefois de façon rustique, le confort m’importe peu. Ce qui compte le plus pour moi, c’est le contact des gens, « limer ma cervelle contre celle d’autrui » comme disait Montaigne et revenir ma caméra et la tête pleines de souvenirs.

    Amicalement.

Gérard Zbir

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Conseil de lecture

Conseil de lecture

     

    Dans son dernier ouvrage, notre ami Yves Glock  qui avec Fabienne, son épouse, fut des nôtres dans plusieurs voyages dont le dernier aux « Émirats Arabes Unis », nous raconte les coulisses de ce que fut son métier de grand professeur de chirurgie cardiaque. Il nous renseigne aussi sur les progrès  réalisés au cours des siècles dans ce domaine.

    Vous pouvez commander son livre intitulé :

«Coulisses, contes hippocratiques »
Editions Espienens.
10 rue d’Espiennens,  31510 Seilhan.
(Faites un chèque de 25 € (18 € + 7 € de frais d’envoi) à l’ordre d’Yves Glock).

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Croisière sur le Mékong

Du Cambodge au Vietnam

23 oct au 4 nov 2019 par G. Zbir

 Lire aussi :  Le carnet de voyage de Claude Poliakoff  

 Et  voir :  Les photos de Béni et d’Huguette 

    Nous étions 22 sur un bateau 4 ancres pouvant accueillir 44 passagers. C’est vous dire si l’équipage était à nos petits soins. C’est le voyage au cours duquel j’ai le mieux mangé : à bord et dans les différents restaurants. Une nourriture fine, variée et bien cuisinée. Un régal.

    Nous avons eu la chance d’aller à la rencontre des paysans et de découvrir leurs modes de vie, peu enviables, faits de travaux des champs, d’artisanat et d’élevage. Et pourtant ils m’ont semblé heureux, souriants et accueillants, comme si nous étions des amis très attendus.

             Le Mékong ? Un fleuve étonnant qui se divise en neuf bras dans le delta, dont certains ne sont pas navigables en période sèche alors qu’à la saison des pluies ses crues atteignent cinq à six mètres de haut, obligeant les riverains à construire des maisons sur pilotis. Près de Kampong Chhnang il se déverse dans le lac Tonlé Sap dont la largeur atteint soixante cinq kilomètres, donnant l’impression d’une mer intérieure puisqu’on n’aperçoit pas les rivages.

  Après avoir visité Siem Reap, jolie ville dynamique aux larges avenues, nous nous sommes rendus à Angkor dont les célèbres temples, construits au douzième siècle sur une superficie de cinquante kilomètres carrés, furent mis au jour en 1904 par des archéologues français. On peut y voir des bas-reliefs de huit cents mètres de long aux sculptures d’une incroyable beauté dépeignant des scènes des épopées hindoues.

Le plus beau de tous, à mon sens, est le temple des dames, ainsi baptisé en référence à la beauté féminine. Au point qu’André Malraux emporta, frauduleusement, avec la complicité d’un paysan, deux statuettes qui lui valurent un procès retentissant et une condamnation à résidence surveillée de plusieurs mois.

    Impossible, lorsqu’on est au Cambodge, de ne pas évoquer l’effroyable épisode des Khmers Rouges dont le lycée de Phnom- Penh, transformé en camp de concentration d’où personne n’a pu s’échapper, témoigne de ce que furent les sévices des millions de martyrs du régime mis à bas en 1979. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du livre de François Bizot, « Le portail », archéologue français, prisonnier des khmers rouges. Ce traumatisme est encore très présent dans l’esprit de chacun car il n’y a pas de famille dont un membre n’a pas été torturé ou assassiné. Le Cambodge n’en est pas pour autant devenu un pays démocratique, car ses habitants nous confiaient que les résultats des élections sont toujours annoncés avant la fermeture des bureaux de vote, excepté en 2016 où un parti d’opposition fit son entrée sur la scène politique avec une cinquantaine de députés. Mais la fête ne dura pas longtemps, car dès le lendemain, tout ce petit monde fut arrêté et incarcéré.

    Puis nous entrâmes au Vietnam, dont le niveau de vie, sans être comparable au notre, est supérieur à celui du Cambodge. Même accueil chaleureux de la population malgré un passé commun douloureux. Mais ce n’est plus qu’un souvenir et les Vietnamiens ne retiennent de la présence coloniale que ce qu’elle leur a apporté de bon. De beaux bâtiments comme la cathédrale de Saïgon, sa mairie, de larges artères haussmanniennes et des parcs bien entretenus.

 

  Se promener de nuit dans la ville est un vrai plaisir à condition d’oser traverser la rue au milieu d’un flot incessant de motos, car il n’y a pas de transports en commun et le métro en construction depuis trois ans n’est pas encore opérationnel. De grandes avenues ont conservé des noms de personnalités françaises : Calmette, Pasteur et Alexandre de Rhodes, père jésuite français né à Avignon en 1591 qui mit au point le « Quoc-ngu », un alphabet s’inspirant du latin, imposé par les français en 1950 et qui est encore aujourd’hui la transcription officielle du vietnamien. Cocorico !!!

    A signaler que cette partie d’Asie du sud-est vit sous l’influence chinoise, peu appréciée dans la région. Au point que les populations appellent les chinois les « fourmis rouges » car ils sont partout, s’appropriant même des iles vietnamiennes de la côte est, ce dont le gouvernement ne parle pas, car l’absence de riposte pourrait être interprétée comme un aveu de faiblesse. Mais que faire contre ce puissant voisin ? Et puis ces chinois sans gênes, crachent, parlent fort et passent devant tout le monde dans les files d’attente !!!

    Je pourrais en écrire plus tellement il y aurait de choses à dire. Voilà, cependant, ce que j’ai retenu d’essentiel de ces beaux pays d’où je suis revenu content mais bronchiteux, car le taux d’humidité était de 100% et le ressenti de 38°, avec partout des clims fonctionnant au maximum de leur puissance.

Gérard Zbir

 Lire aussi :  Le carnet de voyage de Claude Poliakoff  

  Et voir :  Les photos de Béni et d’Huguette 

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Voyage dans le sud de l’Italie

Pouilles, côte amalfitaine, Naples, Vésuve et Pompéi

en juin 2019 par Gérard Zbir

     Nous avons partagé ce voyage avec un très sympathique groupe de St-Etienne qui, comme nous, n’avait pas un nombre d’inscrits suffisant pour maintenir le prix annoncé. Aussi avons-nous décidé de fusionner.

     Ce fut un excellent et beau périple dont nous garderons un bon souvenir. Nous avons eu de luxueux hôtels avec souvent piscines et à table des services à l’assiette avec boissons à profusion : eaux minérales, vins rouges, blancs et rosés, cafés et thé.

Lisez la suite et regardez les photos en cliquant sur « Continuez la lecture » ci-dessous.

Lisez aussi le carnet de voyage de Claude Poliakoff en cliquant ici.

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Nouveau recueil de poésies d’ Yves Glock.

Yves Glock que vous connaissez pour avoir voyagé avec lui et son épouse Fabienne, a publié un nouveau recueil de poésie. Il a lâché le bistouri et  consacre désormais plus de temps à l’écriture. 

Lui avait toujours quelques savoureuses histoires à raconter pendant les longs trajets en autocar et Fabienne, son épouse, nous régalait des chansons de Barbara qu’elle interprétait merveilleusement bien.

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Les Balkans, par Gérard

Les Balkans

du 20 mai au 3 juin 2018

Les photos de Béni et  Le carnet de voyage de Claude

     Alain m’a sorti de ma léthargie pour que je vous fasse un bref ressenti du voyage dans les Balkans qui sera moins précis et détaillé que celui de Claude Poliakoff. Ce dernier paraîtra lorsqu’il sera rentré de vacances, car dans ses montagnes pyrénéennes il n’emporte jamais d’ordinateur.

     Comme toujours, ce fut un agréable et beau voyage fait sous le soleil alors que dans le même temps la France était copieusement arrosée.


     Ces anciens pays de l’Ex-Yougoslavie, malgré ce qui les a divisés et qui les divise encore, ont la nostalgie de l’ère Tito, car le niveau de vie était plus élevé et les avantages sociaux, comme la retraite, meilleurs. Les différentes guerres de 1912 à celles des dernières décennies furent cruelles au regard des listes impressionnantes de noms des monuments aux morts des villes et des villages. Mais ce qui les rassemble c’est leur désir majoritaire d’intégrer l’Union Européenne, au point que certains y sont déjà, mais n’ont pas l’euro et d’autres ont adopté l’euro sans y être encore.

     Bien qu’ils aient une langue commune, chaque pays tient à se singulariser par des mots et des expressions différentes pour finalement dire la même chose.

     Les villes sont de véritables bijoux car bien entretenues et très propres avec de magnifiques jardins, monastères et musées. Quel plaisir de se promener dans Dubrovnik, Skopje, Sarajevo, Tirana, Split, Belgrade, Mostar pour ne citer que celles-là ! Quant à la côte dalmate, quelle splendeur !

     Ce qui m’a étonné, dans des villes essentiellement musulmanes comme Sarajevo, était de ne pas voir de femmes voilées ou portant un foulard. « Nous sommes des musulmans occidentalisés » m’ont-ils dit. Ils boivent de l’alcool et mangent du porc comme nous et s’inquiètent de voir l’Arabie Saoudite financer la construction de mosquées et envoyer des prédicateurs. Ils me faisaient remarquer qu’il n’y avait pas de présence policière devant les synagogues et me disaient que pendant la Seconde guerre mondiale des musulmans ont caché des Juifs. Étonnant !!!

     Je terminerai en disant le plaisir que nous avons eu d’accueillir de très sympathiques nouveaux, qui je l’espère, reviendront lorsque nos propositions correspondront à leurs goûts.

Gérard Zbir

Les photos de Béni et  Le carnet de voyage de Claude

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